Depuis la révolution industrielle de la seconde moitié du XIXe siècle, les activités humaines et l’exploitation du sol ont eu pour effet de transformer radicalement notre environnement. Aujourd’hui, les conséquences de cet engouement tendant à devenir irréversibles et tous les spécialistes s’accordent à dire que le réchauffement climatique et l’épuisement des ressources de notre sol pourraient avoir des répercussions dramatiques pour l’humanité. 

Le LusEa souhaite donc tout mettre en œuvre afin de minimiser les impacts des activités humaines sur notre environnement, en présentant des solutions innovantes afin de limiter les émissions de gaz à effet de serre, de lutter contre la fonte du pergélisol et la montée des eaux, de parvenir à une équation énergétique mondiale cohérente ou encore de lutter contre l’épuisement des ressources de notre planète. 

Afin d’atteindre ces objectifs, le LusEa travaille sur l’élaboration d’un programme d’actions concrètes visant à mobiliser l’ensemble des acteurs concourant à l’utilisation du sol et de l’espace. 

Parmi eux, la sphère politique constitue la pierre angulaire de la transition écologique. 

Toutefois, les pouvoirs publics : 

• 1/ Ne prennent pas toujours la mesure de l’urgence de la situation ; 

• 2/ N’osent pas mener des actions qui pourraient aller à la rencontre des intérêts financiers des principaux actionnaires et des contribuables de leurs aires administratives ;

• 3 / Craignent de prendre des décisions impopulaires qui prétériteraient leur réélection.

Afin de débloquer la situation, des compromis innovants sont à trouver afin que tous les acteurs, actionnaires ou administrés, trouvent un intérêt financier commun à enclencher la transition écologique. La reforestation des milieux tempérés en est un très bon exemple.